Aujourd’hui, poussés par l’énergie croissante de la Lune des Moissons, continuons à nous emplir de ce sentiment d’optimisme et d’abondance.
Dans un podcast avec Jim Dehtmer, auteur et coach, celui-ci décrit la différence entre l’état de victimisation et l’état de conscience créative (https://tim.blog/2020/05/18/jim-dethmer/).
J’aime beaucoup sa façon de penser. C’est lui qui décrivait les différences entre être au-dessus de la ligne et en-dessous que vous pouvez lire ici https://klerviyoga.com/2020/03/16/selever-au-dessus-de-la-ligne/ et aussi les différents états d’expériences (à moi, par moi, à travers moi) : https://klerviyoga.com/2020/06/04/changer-de-perspective/
Quelques caractéristiques de l’état de victime (au-dessous de la ligne) :
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on est dans l’état d’esprit où la vie est quelque chose qui nous arrive.
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nous sommes le reflet des personnes qui nous entourent, des circonstances, des conditions extérieures.
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C’est un état dans lequel la plupart des gens vivent
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Et ce n’est pas parce qu’on est dans cet état que l’on passe forcément une mauvaise journée : on peut très bien être heureux par rapport aux circonstances extérieures
Jim Dethmer propose de passer au-dessus de la ligne, dans un état de conscience créative, où nous sommes entièrement responsables de nos propres expériences. C’est un état d’esprit dans lequel “personne ne me dérange, je ne dérange personne”.
Vivre dans un état de victimisation demande une énergie incroyable : en effet, cela implique de résister à la réalité. A contrario, embrasser l’état de conscience créative est très nourrissant énergétiquement car on ne résiste plus à ce que la vie nous offre.
Voici la façon que décrit Jim Dethmer pour basculer d’un état de victimisation à un état de conscience créative.
1. Observez quand vous mettez dans un état de victimisation
2. Prenez la responsabilité de vous être placé dans cet état
3. Demandez-vous si vous accepteriez de basculer vers un état de conscience créative
4. Identifiez la recette que vous avez suivie pour vous mettre dans un tel état : par exemple : avoir des problèmes relationnels parce que vous ne témoignez pas assez d’affection envers votre partenaire.
5. Dans la même création de la recette, vous avez trouvé la prescription pour changer vers une conscience créative. Ainsi, faîtes l’opposé de la recette.
2. Prenez la responsabilité de vous être placé dans cet état
3. Demandez-vous si vous accepteriez de basculer vers un état de conscience créative
4. Identifiez la recette que vous avez suivie pour vous mettre dans un tel état : par exemple : avoir des problèmes relationnels parce que vous ne témoignez pas assez d’affection envers votre partenaire.
5. Dans la même création de la recette, vous avez trouvé la prescription pour changer vers une conscience créative. Ainsi, faîtes l’opposé de la recette.
Cela peut sembler trop facile et trop simple. Pourtant derrière, se trouve un concept formidable, qui est que nous avons à l’intérieur de nous une formidable corne d’abondances de joies et de de bonheur. C’est un encouragement à partir à la recherche de ses pouvoirs que chacun d’entre nous possède : celui de créer son bonheur. Sans attendre qu’il fasse beau, que nous rencontrions la bonne personne, que nous soyons en pleine santé, que nous trouvions le travail idéal… que quelqu’un nous dise que c’est là qu’il faut être heureux, et pas avant, ni trop longtemps, ni trop fort…
C’est apprendre à danser sous la pluie, à pleurer au soleil, à composer avec ses émotions. Non pas pour être dans un bonheur béat, quoi qu’il arrive, mais pour être en accord avec son être intérieur. A accepter ce que le monde nous propose, en bien et en mal, et se dire que c’est ensuite de notre ressort d’en créer notre propre expérience. 
Belle journée 
