L’Art et les Castors

Nous sommes dans la dernière ligne droite avant la Pleine Lune. 🐾🌝

Avant cette explosion d’énergie, apprécions le chemin parcouru et autorisons-nous à lever un peu le pied. C’est en arrivant à lâcher-prise pour se recentrer et rassembler ses forces que nous pourrons avancer de plus belle.🧘‍♀️

A cette période du cycle lunaire, quand la Lune est bien lumineuse, c’est le moment de préparer votre « tisane de lune »: cela consiste à placer une tasse d’eau frémissante, avec ses herbes favorites , toute la nuit à la lumière de la lune.☕️

Dans ce week-end sous le signe de la détente, pourquoi pas reprendre pinceaux, stylos, couteaux de cuisine, fil et aiguille… pour exercer votre créativité ? 🎨🎼🎭

J’ai entendu récemment une citation de Cesar A. Cruz qui m’a beaucoup plu :
“ Art Should Comfort the Disturbed and Disturb the Comfortable”
ou “l’Art devrait réconforter ce qui est dérangé et déranger ce qui est confortable”.

Cela m’a touchée car elle montre ces deux côtés, ces deux potentialités, ces dualités du confort et de l’inconfort dans lesquelles nous dansons en permanence. Cela aussi pour nous rappeler que c’est aussi dans le mélange des sensations que la beauté de la Vie opère. Quand c’est trop dérangé, c’est angoissant, oppressant, fatigant. Mais si c’est trop confortable, c’est peut-être trop complaisant, trop évident, trop plat, trop faux… ☯️
Un peu comme la Lune qui change sans cesse, qui atteint un point d’équilibre à la Pleine Lune, et bascule dans une énergie différente, cherchons à observer ce jeu des énergies. 🌛🌝🌜🌚

Lorsque cela sent fait sentir, prenons une touche de couleur réconfortante et peignons la toile de ce qui était dérangé.🎨 Pour un peu plus tard, tremper notre plume dans l’encrier de ce qui est dérangé pour noircir des pages déjà remplies de mots confortables.✒️