Je vous propose de mettre de la couleur bleu turquoise dans votre journée en vous reliant au cinquième chakra,Vishuddha, le chakra de la gorge.
Sa couleur est le Bleu turquoise. C’est la couleur de la confiance et de la loyauté.C’est le premier des 3 Chakras, dits supérieurs, reliés au plan spirituel. Ce chakra est associé aux qualités d’écoute et de communication.
Physiquement, ce chakra est situé au niveau de la gorge. Il est associé avec les oreilles, la bouche, la gorge, le thymus, l’hypophyse et le cou. Son nom en Sanskrit est Vishuddha : ce qui signifie Purification. ll est représenté par une fleur de lotus bleue à 16 pétales.Son élément est l’Ether. Ce qui symbolise l’expansion et la liberté.Il nous permet aussi de parler de façon authentique et défendre ses opinions face au monde sans crainte d’être jugé mais tout en restant respectueux et diplomate.
Les cristaux de ce chakras sont : le saphir, la topaze bleue, le lapis lazuli, l’aquamarine, la turquoise et la sodalite.
Quant aux huiles essentielles, celles les plus efficaces pour stimuler ce chakra sont : la sauge sclarée, la myrte et le citron. J’ai écouté un podcast avec Jam Gamble sur le pouvoir de sa voix. Il y a deux idées qui m’ont particulièrement marquée :
La première, c’est d’oser s’exprimer. Prendre la parole, dire son opinion au repas de famille comme à l’assemblé générale de son association, ou encore plus de monde si l’occasion se présente…Même si c’est impressionnant au premier abord. Jam disait que c’est osant prendre la parole, que l’on pouvait inspirer d’autres personnes à faire de même. Même si on se trouve maladroit. Et surtout si on l’est ! 
Elle raconte l’histoire d’une femme qui s’était forcée à prendre la parole pour dire qu’elle avait osé quitter son compagnon d’une relation abusive et combien elle se sentait mieux à présent. Son histoire, elle l’avait raconté d’une voix chevrotante, en butant parfois sur des mots. Loin d’un discours tonitruant et rythmé comme un prêcheur chevronné. Pourtant, quelques mois plus tard, une femme est venue la voir, les larmes aux yeux, parce c’est son discours, parfois presqu’inaudible, qui a poussé cette femme a quitté son mari, qui la rabaissait. Notre voix, même maladroite, même toute petite, même avec des mots farfelus… sait faire le chemin vers le coeur. Et c’est bien le principal.
La seconde, c’est de de supprimer les “mais”. Ces petits “mais” qu’on rajoute en fin de phrase pour justifier, pour baisser d’un ton. “je suis prof de yoga, mais… je donne juste 2 cours dans mon petit village” ; “j’ai écrit des livres, mais … ce n’est pas mon activité principale.” Comme si on laissait les mots prendre leur envol, et puis tout de suite on les essayait de les rattrapper au vol, pour éviter qu’ils aillent trop haut, qu’ils ne prennent trop de liberté… et alors, on rajoute ce “mais” pour les rapetisser, pour les faire tomber au sol, pour qu’ils ne prennent trop d’ampleur. 
Ce que Jam enjoint de se dire à soi, c’est : ‘Ce qui est dit, est dit.’
Pour assumer, pour laisser parler notre voix, notre voix bleue turquoise, et qu’elle se fasse messagère vers d’autres coeurs.
Belle journée turquoise !
